clod

L’univers frais et coloré d’un « agité positif ».

Autodidacte et atypique, clod nous avait décrit son parcours avec enthousiasme dans « Métier Illustrateur » lors de son expo (et livre associé avec la rédactrice Anne Debrienne) C’était mieux avant ? en 2011. Depuis, clod trace sa route, toujours en conjuguant passion et professionnalisme. Son style évolue, se diversifie au-delà du « néo-rétro années 60 » qui a tant fait son succès. Et l’année 2017 est à marquer de plusieurs pierres blanches.

Depuis un an, il illustre régulièrement des articles pour le Parisien. « C'est tout nouveau pour le Parisien, qui n'avait pas la culture de l’illustration. Ça se passe très bien. C'est grâce à mon livre sorti l'année dernière Le Calvaire de Mamie Yvette et autre faits-divers illustrés. Un livre, toujours avec ma complice Anne Debrienne, à propos d’un fait divers paru dans Le Parisien. C’est une expérience grisante et… stressante. J’adore ça !» jubile clod. Et avec Virginie agent d’illustrateurs, qu’il a rejointe en octobre, les commandes publicitaires vont bon train.

Comme beaucoup d’artistes, clod tient « pour son équilibre » à poursuivre aussi des projets personnels. Et en partage un, « Seul », au salon de thé Queen Ann (Paris 4ème) jusqu'au 31 mars 2018 après l'Atelier Nota, concept-store sur l’univers du papier situé dans Paris 18ème, en janvier. Son dessin y prend de la hauteur, aborde la condition humaine. Des préoccupations humanistes qui rappellent Sempé, même si le style coloré et minimaliste de clod est à l’opposé des dessins au trait foisonnant de Sempé.

Paul Schmitt, novembre 2017

 

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