"Pour cette pièce, le metteur en scène, Jean-Baptiste Sastre travaillait sur la notion de vide. Pour l’affiche, il ne fallait pas trop montrer d’objets réels. Je suis parti de ce sac vide, qui est rétro-éclairé. Les zones pliées plusieurs fois deviennent sombres. On ne sait pas bien s’il s’agit d’un diable, d’un chien, ou d’un homme. Quant aux yeux, ils sont constitués par les bouts de ruban adhésif. Tout a été réalisé à la prise de vue, c’était particulièrement délicat."