
"Alfredo Arias, le metteur en scène, voulait travailler sur ce mélange de douceur et de masochisme, mais ne souhaitait pas une image trop violente. Il m’a suggéré l’utilisation d’un objet comme un fouet. J’ai fait des esquisses et la logique d’un prolongement avec une fleur est apparue. Par contre, j’ai eu du mal à trouver le bon accessoire. J’ai acheté ce fouet avec des clous dans une boutique spécialisée, où l’on vend d’ailleurs des objets qui dépassent l’imagination… Ensuite, j’ai cherché cette fleur avec une tige énorme qui raccorde bien avec le manche du fouet. Pour la prise de vue, le problème était d’avoir la même échelle pour bien raccorder le haut et le bas."