Catherine Zask :
"L’utilisation des restes est un aspect de mon travail qui deviendra récurrent. Ici, j’utilise les bavures de l’encre issues du découpage net des tracés au pinceau. C’est avec l’idée de poursuivre cette recherche fondée sur l’écriture et la recomposition de signes à partir de traces que je suis partie en Italie, à la Villa Médicis, en 1993."