
80 x 110 cm, tirage numérique sur toile.
À gauche, en petit format, un travail antérieur de 13 années (voir image 1) fait écho de manière imprévue.
Catherine Zask :
"J'ai intitulé cette série sur les espaces latents Alcibiade, parce que c'est l'Alcibiade de Platon qui a déclenché le désir d'explorer cette piste hors commande. Le dialogue entre Alcibiade (un jeune ambitieux) et Socrate fait d'Alcibiade le réceptacle des paroles de Socrate. Tout ce que dit Alcibiade est là, lisible, sur sept colonnes. Sporadiquement, des espaces - entre-mots, entre-lettres, entre-lignes, entrecolonnes - sont révélés par noircissement. Ces entre-espaces (entre-temps, intervalles), peuvent aussi vivre en dehors du contexte qui les a révélés."