
Catherine Zask :
"Parfois la solution vient très vite. Dans certains cas, c'est beaucoup plus long : à un résultat satisfaisant, il m'arrive d'apporter des modifications… qui ouvrent d'autres pistes et me donnent envie de fouiller dans une nouvelle direction, ce qui bien évidemment remet toute la composition en question. J'appelle cette dérive une noyade."