"Quand tu dessines une tête de mort, c’est un garçon ou une fille indiféremment, sans t’embêter avec des canons physiques, car tout le monde est doté approximativement du même squelette", explique Rocco.
Lequel Rocco, qui est professeur d’illustration à LISAA (L'Institut Supérieur d'Arts Appliqués), donne d'ailleurs comme premier sujet à ses étudiants une tête de mort, blanche sur fond noir...
"Tout le monde sait dessiner une tête de mort et puis c’est un signe qui est très présent dans notre environnement : sur les produits d’entretien, à l’arrière des camions... Ensuite, on expose tous les dessins ; c’est jubilatoire, en aucun cas morbide."