
"Ensuite, nous avons imaginé une identité visuelle qui soit une sorte de prolongation de cette signalétique, basée sur la question de la concentration et du multilinguisme, de la multiculturalité, du patchwork que constitue ce bâtiment. Avec l’idée de mettre à disposition des graphistes une sorte d’outil en se disant que chaque année devait intervenir un graphiste différent. Mais c'est Pierre Bernard qui a gagné le premier concours. Et il est resté."