
Sigurdur Arni Sigurdsson présente des formes en aluminium, découpées au laser, qui empruntent autant à l’organisation d’un nid d’abeilles, aux représentations de structures alvéolaires qu’aux motifs caractéristiques des craquelures des sols de lave solidifiés qu’il observe en Islande. Il en résulte une forme et son double créé par l’ombre portée au mur dans un jeu de transparence et d’opacité. Le regard se porte tantôt sur la matière- le réel- tantôt sur l’ombre- le double- comme pour confondre notre propre identité.