Lek et Sowat ont invité secrètement vingt artistes issus de la rue pour travailler en tracés directs avec de la craie et de l'eau sur un tableau noir du Palais de Tokyo, support des médiateurs de l'institution.
Le court métrage "Tracés Directs" qui présente cette expérience clandestine – oeuvre saccadée et monochrome - questionne le passage de la rue à l'institution et révèle le surgissement des lettres, la violence de la destruction, la fragilité de la trace