Ghost in the shell

 « Nous ne sommes ni au Japon, ni en Chine. Nous avons créé une métropole futuriste qui dégage une atmosphère asiatique qui mêle influences occidentales et orientales. Il s’agit d’une certaine façon d’un monde rétro-futuriste où l’on aperçoit des voitures des années 70 et 80 et des mitrailleuses des années 90. Il n’appartient pas à une époque précise et constitue presque un univers parallèle” (Rupert Sanders, réalisateur) "J’ai sélectionné une gamme chromatique composée en grande partie de couleurs secondaires que l’on ne voit pas souvent au cinéma" (Jess Hall, directeur photographie)