
Récit foncièrement optimiste, IGOR montre que le monde peut changer grâce aux êtres les plus inattendus. Pour le scénariste Chris McKenna, tout est parti d'une simple idée : fan absolu de films d'horreur, il a voulu signer une variation loufoque sur le mythe de Frankenstein et d'autres films de savants fous en
renversant les codes habituels. Il s'agissait de faire de l'assistant de labo bossu et grossier un génie, du savant fou un imposteur, du monstre maléfique une délicieuse créature, du cerveau en bocal un simplet etc.
“J'avais vraiment envie de m'attacher à un univers sombre, battu par les vents, qui évoque la Transylvanie,” explique McKenna.
(dossier de presse)