
D’une bassesse démesurée, au propre comme au figuré, cet industriel sans scrupules s’est enrichi en vendant de l’air frais en bouteille aux habitants de Thneedville. Ses usines polluent l’atmosphère, ce qui contribue au développement de ses affaires. Il commande son empire d’un dirigeable qui plane au-dessus de la ville et est toujours flanqué de deux énormes brutes épaisses, Mooney et McGurk. O’Hare aurait tout à perdre si les arbres étaient introduits à Thneedville et que l’air devienne à nouveau gratuit.