
Sur place, Sergueï est séduit par une famille de loups.
“L’autre problématique, à part le lieu, était de trouver des loups, sur deux saisons et que l’on voit grandir.Donc trois portées de trois âges différents. Les loups de Sibérie sont sauvages et il n’était pas question de les approcher. Nous avons donc fait appel au Canadien Andrew Simpson qui nous avait fourni tous les animaux sauvages de Le dernier Trappeur" (Jean-Pierre Bailly, producteur)