
"J’ai choisi une esthétique de dessin animé japonais très proche du mouvement de la musique électro. Cela a été un double défi, d’abord parce que je n’avais jamais réalisé de dessin dans ce style, mais aussi parce que je voulais situer la scène dans un décor extérieur, avec le logo de Creamfields intégré à l’esthétique générale."