
Sylvestre Bouquet dessine des espaces urbains oppressants, qui évoquent la séquestration. Une violence extérieure omniprésente. La seule issue parait être la soumission à des énergies surnaturelles réelles ou fantasmées, des esprits imprécis, des bribes de croyances pêchées ici où là, réunies dans un syncrétisme bâtard.