Mathilde Porée répète l’image, la donne à voir et à revoir pour ne rien manquer. Elle joue avec les détails pour montrer ces choses insignifiantes, ces petites ou grandes disparitions qui font partie de notre quotidien.
Les éléments employés, souvent d’origine végétale ou animale deviennent alors un pigment au sein d’une composition, une forme, une idée. Assemblés, superposés, retournés et idéalisés, ces éléments sont une ode à tout ce qu’il y a de précieux et d’invisible.