Le ghanéen, James Barnor saisit l’atmosphère d’optimisme de la communauté urbaine rêvant dans les années 1950 et 1960 d’une certaine « Afro-modernité » et collabore à l’auto-détermination de cette nouvelle image de ses concitoyens. Il travaille également comme photo journalistepour le journal The Daily Graphic et pour le magazine Drum.