
Technique de travail :
Petica part le plus souvent de photos qu'il importe sous Photoshop pour récupérer différentes teintes de gris. "Je pars le plus souvent de photos car cela me permet de consacrer plus de temps à la composition, qui peut durer plusieurs jours."
"Pendant longtemps, j'étais un inconditionnel du noir et blanc. La couleur me gênait," précise-t-il. Après plusieurs essais, il adopte une mise en couleurs par aplats.
"Je n'aime pas traduire le volume, même aujourd'hui, ce qui me pousse à ne jamais utiliser de dégradé. Comme j'adore l'estampe japonaise, j'ai fait plusieurs tests sous Photoshop pour arriver à des aplats corrects. Mais j'avais un nombre incalculable de calques et la réalisation était fastidieuse. Puis j'ai découvert Illustrator et j'ai enfin trouvé le logiciel qui correspondait à mes attentes."