
"Le plus difficile, c’était la dilution des phases actives sur une longue période. La multiplicité des étapes techniques successives - même si mon segment était plus léger à animer que d’autres - et l’organisation globale, qui heureusement était bonne. Côté rythme, mon projet présentait la particularité d’être constitué de
plusieurs séquences de longueur variables, organisables dans x combinaisons.
Le bon ordre des séquences entre elles et dans le montage général, a demandé pas mal d’essais et à la fin j’avais un peu de mal à voir l’apport de telle ou telle nouvelle version. Alors j’ai fait confiance aux autres. Une difficulté aussi c’est de faire court en menant chaque idée à son terme." (Pierre di Sciullo)