
Olivier Laban-Matteï est la preuve vivante que le photojournalisme n’est pas mort. Il aime se trouver près de son sujet et va au contact des événements, il est l’un des rares photographes à transmettre des images d’une violence forte. Qu’il soit à Gaza, en Haïti, en Irak, en Géorgie, en Birmanie ou en Iran, il raconte au public les destins tragique et le courage de ces peuples face à l’horreur qui les entoure.