Monastère de Sapara, 2001. Saba et Nika. Tous deux ont découvert leur vocation monastique alors qu’ils n’avaient pas encore trente ans. Durant des vacances, Saba visite le monastère et décide d’y rester, laissant derrière lui sa vie laïque. Sapara compte parmi les premiers monastères à avoir ouvert leurs portes après l’indépendance de la Géorgie, une période marquée par un fort renouveau du sentiment d’identité nationale, dont la religion est l’un des piliers.