Un monde propre, confortable, aseptisé où les Humains sont comme des pachas.
Alors que la première partie du film parle d’amour et d’émotions et possède une ambiance lumineuse chaude et romantique, la seconde partie se déroule dans un environnement stérile, ordonné et propre où la lumière est plus froide. La deuxième partie du film est l’antithèse parfaite de la première. Pourtant, à mesure que l’histoire avance, nous avons introduit lentement mais sûrement un éclairage de plus en plus romantique. »
Pour créer les décors de la seconde partie de WALL•E, celle qui se déroule dans l’espace, le chef décorateur Ralph Eggleston et son équipe se sont inspirés de croquis et peintures de la NASA datant des années 40, 50 et 60, et des « concept arts » de Disney pour Tomorrowland. Ralph Eggleston explique : « Les dessins de conception de Tomorrowland nous ont donné une direction générale, ce n’était pas une question de détails précis, mais d’ambiance globale, une approche de comment pourraient vivre les gens du futur, quels vêtements ils pourraient porter et quels types d’objets ils pourraient utiliser. Quand aux concepts visuels des programmes spatiaux de la NASA des années 40 à 60, ils montrent une imagerie fantastique de superbes structures habitables construites sur Mars. Vers 1978, ils ont arrêté d’en faire parce qu’ils ne voulaient pas mettre de temps ni d’argent dans des projets qu’ils savaient irréalisables. D’une façon générale, nous avons essayé à travers nos décors de montrer à quoi pourrait ressembler le futur et combien il pourrait être excitant. »
(dossier de presse)
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