EDITO </h3>29 février 2012</h4>
La crise réveille la conscience sociale, c'est une évidence. A New York même, la graphiste Luba Lukova</a> met la "social justice" au centre de son travail depuis 2008: des affiches fortes, symboliquement et graphiquement, qu'on ne renierait pas même en Europe.
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Ai Weiwei quant à lui n'a pas besoin de crise pour être le trublion d'une société chinoise en trasnformation accélérée. Le Jeu de Paume à Paris nous montre pourquoi, avec une bienvenue rétrospective de ses travaux des 20 dernières années.
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Toujours à Paris, au parc de Bagatelle, la <strong>jeune photographie européenne tient son festival, <em>Circulation(s)</em>: 40 talents émergents à découvrir dans leur diversité. Vaut le détour, d'autant que l'exposition est gratuite!
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Ses dessins seront à l'affiche de la Cinémathèque dès la semaine prochaine. En prélude, la galerie Arludik à Paris rend <strong>hommage à Tim Burton</a> en conviant 45 artistes de la BD et de l'animation à dessiner sur le thème de l'Etrange Noël de Mr Jack. Drôlatique à souhait.
</p>Un dernier rappel pour <strong>Schwarz Weiss</a>, ou comment l’opposition blanc-noir influence le design et l’architecture, exposition qui termine son parcours cette semaine...
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Bonnes vacances à ceux qui sont partis, bonne semaine à tous,
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La rédaction de Pixelcreation