Ambiance"Fifties" dans une Nouvelle Angleterre rurale... reconstituée en Normandie
"En termes de lumière, la continuité était essentielle à partir du moment où l’on tournait dans les mêmes décors et la même campagne normande. Il fallait reprendre le « look » du premier épisode pour que les trois films forment les trois volets d’une même histoire. Dans la mesure où j’aime beaucoup tourner en lumière naturelle, j’ai pris beaucoup de plaisir aux premières scènes de cette suite qui voient Arthur enchaîner les étapes de son initiation. Ce sont des scènes brèves, mais visuellement très belles, filmées au coeur de la nature - ce qui nécessite moins de « travail ». Par exemple, dans les sousbois, on arrive à modifier la lumière par le seul apport d’un réflecteur ou d’une toile blanche. "(Thierry Arbogast, chef opérateur)