40 ans.“J’ai toujours le même rêve, il y a une porte à travers laquelle ma mère se tient, c’est alors que je revois et réimagine mon enfance”. Sergey Loier, longtemps photographe de cinéma et de théâtre, se situe dans une réminiscence d’un cinéma d’inspiration poétique et surréaliste, que l’on peut voir entre autre dans les films de Sukurov ou Tarkovsky.