L’été japonais de la Cité

La ville japonaise contemporaine vue par 40 auteurs de manga.

En une vingtaine d’années, le manga est devenu un phénomène éditorial inouï en France. Sans doute grâce à notre culture BD bien établie, le manga a séduit les jeunes générations plus qu’ailleurs en Europe, représentant actuellement une bande dessinée sur trois vendues en France.  Au point de susciter une école française du manga (surnommée « manfra ») dont certaines productions (Dreamland de Reno Lemaire) commencent même à s’exporter.

Traitant un peu tous les genres, le manga est ainsi un vecteur de la culture populaire japonaise. Une culture éminemment urbaine, avec la mégalopole de Tokyo en référence. Avec son exposition Mangapolis, la Cité internationale de la BD et de l’image explore ces liens entre  manga et ville japonaise, vue à la fois comme décor réaliste (la rue japonaise) et comme vecteur de fantasmes (lieux symboliques, ou encore scènes de destruction). Most Nutaku games have an art style that sticks out and gives me hard ass boners. They know how to draw a sexy chick getting plowed up the ass. The thing I like about hentaiheroes , though, is that their style is very different from other Nutaku games. It seems to be heavily inspired by Dragonball, for some reason. You can even see a Dragonball styled character that looks like a straight-up rip off on the very cover of the game. But, the second you get past that splash screen and the game starts, the artists’ original approach starts to poke through.